Retour sous forme d’entretien avec nos deux jeunes archers Natan et Alexandre sur le stage de perfectionnement auquel il ont participé au château de Chamarande, du 24 au 28 août 2019.

Natan, quel âge as-tu et depuis combien de temps pratiques-tu le tir à l’arc ?
« J’ai 15 ans et c’est ma cinquième année de pratique. »
Et toi Alexandre ?
« J’ai également 15 ans et c’est ma troisième année au club. »
Pour Alexandre il s’agissait d’une nouveauté, alors que Natan avait déjà participé au même stage, l’année précédente. La durée du séjour en internat à Chamarande était de 5 jours, du lundi au vendredi.

Quel était le déroulement d’une journée type ?
« Après le réveil à 8h, le petit déjeuner et la toilette, briefing à 9h en salle sur les activités de la journée.
9h30 réveil musculaire et pratique du tir à l’arc jusqu’à midi, encadrés par 2 diplômés d’État.
Déjeuner jusqu’à 13h suivi d’un temps calme (jeux de société, courrier).
À 14h théorie et pratique du tir à l’arc jusqu’à 18h, sans oublier le goûter à 16h30 !
Douche et nouveau temps calme avant le dîner à 19h.
20h veillée encadrée par les 2 animateurs BAFA et extinction des feux à 22h… »


Comment avez-vous trouvé l’ambiance du stage ?
« Avec les autres jeunes l’ambiance était comme au collège ou au lycée. On fait connaissance le premier jour et après tout se passe bien ! »
Et avec l’encadrement ?
« Très bien également. »
Quelles étaient les activités liées à la pratique du tir à l’arc ?
« Le matin était dédié à la technique et aux réglages, avec des tirs à 18 mètres. L’après-midi nous faisions des jeux, des duels. »
En ce qui concerne les autres activités du soir ?
« Beaucoup de jeux. Jeux musicaux, blind test, etc… »

Points positifs du stage ?
« Cadre du château de Chamarande et du lieu d’hébergement, très jolis et sympas !
Pratique du tir en s’amusant.
Nombreux conseils (renforcement musculaire, travail technique…) et le sentiment d’avoir progressé durant le séjour. »
Points négatifs ?
« La restauration… »
Cela vous a-t-il donné envie de participer à d’autres stages ?
« Oui, si c’est possible ! »
